OPH de la MeuseActualitésDEPUIS MA FENÊTRE…CHRISTELLE GENIN

DEPUIS MA FENÊTRE…CHRISTELLE GENIN

L’OPH de la Meuse vous présente ses fidèles locataires à travers le département. Découvrez aujourd’hui Christelle et l’histoire de son relogement à Bar-le-Duc.


Rencontre avec Christelle, fidèle locataire de l’OPH de la Meuse

Quand on parle de fidélité, Christelle en est une merveilleuse définition. Elle est locataire de l’OPH de la Meuse depuis toujours comme elle le dit. Dès qu’elle a eu l’âge de se loger seule, elle a choisi l’OPH dans la belle ville de Bar-le-Duc. Aujourd’hui, elle nous raconte son parcours avec l’OPH.


L’émotion d’un relogement

Elle vit aujourd’hui avec ses deux filles dans un charmant T4 avec balcon. Mais cela fait seulement un an et demi qu’elle s’y trouve. Son ancien immeuble a dû être démoli et elle a été prise en charge par l’OPH de la Meuse pour être relogée dans un appartement plus récent. Même si tout s’est bien passé pour Christelle, elle nous a fait part de son émotion intense. « Voir partir en fumée son petit nid douillet c’est toujours un choc, même si c’est pour notre bien. »
Il est vrai qu’un relogement est souvent une étape complexe émotionnellement. On doit quitter les murs qui nous rassurent, qui ont vu nos enfants grandir, qui nous ont entendu rire et pleurer. C’est pour cela que l’OPH de la Meuse a accompagné chacun des locataires concernés étape par étape en leur apportant conseils, soutien et bien entendu en leur proposant différents projets de relogement.


Une drôle de colocation

Christelle n’est pas seule. Et on ne vous parle pas de ses filles qui font leur petit bout de chemin. L’une à l’université de Nancy et l’autre un peu plus jeune, sur les bancs de l’école. Mais c’est sur le balcon de ce foyer chaleureux qu’une autre famille a décidé de faire son nid, au sens propre. Un nid d’hirondelles qui chantent aux fraîches heures du matin. Mais comme c’est une espèce fragile, Christelle n’a pas osé les déloger. Elle attend une association spécialisée qui pourra l’aider à déménager ces petits squatteurs sans leur faire de mal.


L’évolution de Bar-le-Duc

Christelle est quelque peu nostalgique. Pour elle, la ville s’est embellie, mais elle a grandi et il y a plus de monde qu’avant. Fini le temps du village où tout le monde se connaissait. Alors pour la nouvelle génération et tous les futurs habitants de Bar-le-Duc, elle a cœur de rappeler que le respect est la base de toute relation. L’OPH de la Meuse est ravie d’avoir pu échanger avec Catherine pour vous partager le regard pertinent d’une de nos plus fidèles locataires.

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