Publié le 30 août 2022
Bien-être au travail #8 – Testez vos connaissances sur la pollution de l’air intérieur !

Publié le 30 août 2022
Vrai. L’humidité dans les logements peut avoir différentes origines : fuite d’eau, mauvaise conception du bâtiment ou activités humaines (cuisson, douche, vaisselle, séchage du linge…). Si elle n’est pas en elle-même une source de pollution, cette humidité peut favoriser la prolifération des moisissures et des acariens qui sont des sources de pollution de l’air intérieur. De même, elle accélère la détérioration des colles des panneaux de particules et peut favoriser le dégagement de composés organiques volatiles comme le formaldéhyde. Certains gestes permettent de limiter l’excès d’humidité chez soi :
Vrai. Les intoxications au monoxyde de carbone ont lieu principalement durant la saison froide, en automne et en hiver (de novembre à mars). Durant cette période, les besoins en chauffage augmentent et, avec eux, les risques d’accidents dus aux appareils de chauffage (chaudières notamment) et cheminées qui sont mal entretenus ou défectueux. Ce risque n’est toutefois pas toujours bien connu par les personnes disposant d’un appareil de chauffage à combustion.
Faux. Le lien entre la présence de plantes et la qualité de l’air intérieur n’est aujourd’hui pas scientifiquement prouvé. De même les tests menés sur les purificateurs d’air vendus dans le commerce ne sont pas toujours très probants. De plus, ces purificateurs peuvent favoriser l’émanation de sous-produits pouvant être nocifs. D’où l’importance de vérifier les normes garantissant les performances et l’innocuité de ces appareils avant de les acheter.
Vrai. Formaldéhyde, solvants organiques, éthers de glycols, benzène… Dans notre environnement de tous les jours, nous sommes exposés à de nombreux composés organiques volatils présents notamment dans les colles, peintures, produits d’entretien ou de nettoyage, parfums, déodorants, feutres…. Il est essentiel de les limiter en raison de leur impact négatif sur notre santé. Certains d’entre eux sont même reconnus comme cancérogènes.
Faux. Les parfums d’ambiance, bougies parfumées et autres encens sont les faux-amis de notre air intérieur ! Ils sont à éviter car leur combustion peut émettre certains polluants (COV, formaldéhyde, hydrocarbures aromatiques polycycliques).
Pour avoir un air sain, rien de tel que d’aérer chaque jour son habitation :
Aérer permet toutefois de diluer la pollution de l’air intérieur, mais pas de l’éliminer.
Vrai. Les risques sanitaires sont clairement avérés pour certaines substances, notamment :
D’autres substances suspectées d’avoir des effets négatifs sur la santé ont fait l’objet de restrictions sur le plan réglementaire :
Vrai. Cette pollution peut provenir de deux sources principales :
Vrai. Ses allergènes sont surtout présents dans la salive et dans les glandes sébacées, mais ils se répartissent sur le pelage lorsque l’animal se lèche pour faire sa toilette. Chez le chien, les allergènes sont essentiellement présents sur le pelage et dans la salive. Ces allergènes se fixent sur les cheveux et les habits des personnes. C’est pourquoi, on peut développer une réaction allergique, en l’absence d’animal dans la pièce où l’on se trouve.
Pour en savoir plus :